Pourquoi ce Cercle ?

» Toute vérité franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition.  Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence. » – Arthur Schopenhauer 


Pourquoi Cercle ? Parce que ce mot est intimement lié à la réflexion, au débat d’idées, aux échanges. Nous vous offrons ici des articles engagés, pour le bien commun. C’est une perspective réjouissante, autour de la thématique de la résistance, du changement et des idées qui vont suivre. 

Pourquoi « résistance » ? il ne s’agit pas là d’une allusion à la période de la seconde guerre mondiale mais plutôt, même si cela correspond d’une certaine façon, à la référence à tous les ISMES qui nous gangrènent et qui freinent notre évolution sociétale. ISME est dangereux car idéologique. Nous ne retenons donc rien en ISME, ni capitalisme, ni libéralisme, ni féminisme, ni islamisme, ni christianisme, ni bouddhisme, ni judaïsme, ni racisme, ni macronisme, etc…Il s’agit de nous libérer, de libérer l’homme de tous ces jougs. Un individu libre est a fortiori un individu qui est susceptible de faire avancer la société, de l’améliorer, ce qui est le but recherché à travers toutes les idées que nous défendrons. 

Pour nous, l’homme est bon, intrinsèquement bon, nous retenons Rousseau: la société l’a corrompu. Mais l’homme est également responsable, nous le verrons plus loin.
Les deux piliers de notre réflexion seront l’ECOLE, l’Education Nationale et L’HUMANITAIRE. 

Deux piliers sains primordiaux, jetés en pâture par le passé.
L’école impossible à réformer, et bien nous, nous le voudrons en priorité et nous y mettrons les moyens. Cette école sera exigente, soucieuse de chacun. Un travail individualisé sera au mieux mis en place. Ceux qui apprennent vite pourront aller vite, ceux qui ont besoin de temps prendront le temps, fini ces classes où les bons s’ennuient, où les nuls n’ont aucun moyen de progresser. Il faut en finir avec cette dictature de la moyenne ! Les professeurs seront eux aussi soumis à ces conditions d’exigences. Mieux rémunérés et mieux formés. Les diplômes seront plus adaptés et plus difficiles à obtenir. Nous devons en urgence relever le niveau général de la culture. Quant à cette dernière, elle sera de manière identique soumise également à ce critère d’exigence, qui n’est pas forcément synonyme d’élitisme. Pour notre culture, quelque soit son domaine, nous aurons deux orientations dont dépendront les financements publics (subventions, commissions et aides en tout genre) : le maillage rural surlequel je reviendrai, et l’exigence. 

L’autre pilier est l’humanitaire avec trois axes que nous mettrons ici en avant : 1/ recouvrer plus de dignité humaine dans notre pays 2/ en faire une priorité nationale 3/ replacer le travail dans une perspective de vie humaine faisant sens.

Un mot sur le travail, notion qui nous tient à coeur : oui à l’introduction de la flexibilité tant souhaitée par les libéralistes mais pas pour les mêmes raisons. Ce ne sera pas en vue de favoriser le marché mais afin de libérer l’individu du joug travail. A chacun de pouvoir choisir quand cela est possible plus de temps pour d’autres activités, des loisirs, la famille. Donc nous devons aller vers des contrats courts et à la journée et des contrats longs avec des possibilités d’absences non payées mais réalisables. La souplesse est nécessaire, elle favorise la polyvalence des profils et une vie différente à terme. 

En dehors de ces deux piliers, deux niveaux « administratifs » sont à considérer avec attention en toute urgence : l’EUROPE et la RURALITE. 
Nous pourrions proposer un grand projet européen, un grand mouvement collecfif comme un ferroutage européen prioritaire. Ou au niveau culturel tel une grande exposition européenne. Quand au rural, il est une priorité. Il faut OSER le rural, restaurer les communes, élément de base de notre démocratie. Nous aurons un référent ruralité dans chaque Ministère, une aide d’urgence aux agriculteurs que nous devons libérer des immenses lourdeurs administratives européennes justement, une sauvegarde honorable des services publics (engagement financier en ce sens). Nous devons tout faire pour faire revivre les campagnes, culturellement, sur le plan touristique, économiquement, qu’il y fasse bon vivre. Ce n’est que bon sens. 

Nous sommes un Cercle qui dit « par le peuple, pour le peuple, avec le peuple ».
Peuple étant différent de « populace » comme l’explique Michel Onfray.
Il nous faut recouvrer le bon sens de la politique, des affaires.

Revenir à la terre, humis : être humble.
Ici, nous avons deux objectifs : RESISTER et PROTEGER (mission sous-jacente de protection de l’homme). Et in fine, ENCOURAGER.

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